(note reprise dans l'almanach : aller lire la version enrichie)
Obligation de changement
Éviter les aces que la vie pourrait mettre si on reste trop statique
Changez, avant que vous n’y soyez obligé.
— Jack Welch
En pratique, cette exhortation n’est pas simple. C’est plus un rappel que le changement est permanent1 et qu’il est souvent moins douloureux d’être dans une logique de changement que l’on désire et maîtrise plutôt que l’on subit.
Cela nécessite, au niveau de l’organisation, mais aussi de l’individu, d’être sensible aux signaux faibles2 que notre environnement ou notre organisme nous donne afin de détecter que l’état présent est indésirable avant qu’il ne devienne vraiment intolérable.
Comme dirait ma femme : « ça n’est pas en mer agitée qu’on apprend à nager. »
Édit. : ça me fait me poser les questions : « quels sont les changements qui vont m’être imposés ? Que je pressens comme arrivant vers moi et auxquels je suis mal préparé ? Qu’est-ce que je pourrais faire pour les anticiper un peu mieux ? » Un peu comme le tennisman en réception au service — ou le gardien de but au penalty — : il ne peut pas savoir exactement où la balle sera et il n’aura pas le temps de le décider une fois que le coup est parti. Il ne peut donc pas rester statique. Donc il se lance très tôt dans une direction qui lui semble la bonne en espérant être au bon endroit au bon moment... Ça ne marche pas à tous les coups — il y a des aces — mais c’est mieux que de ne rien faire...
Notes & références
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À relire : pensées pour lui-même, présupposés de la PNL et impossible d’agir. ↩
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À relire : écouter son cœur, marqueurs somatiques et communication non violente. ↩
Note : cet apprenti-sage faisait partie d'un de mes précédents sites (FaciliterLeChangement.fr) et je l'ai rapatrié et enrichi ici. L'illustration originale y est remise pour référence.
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